Les effectifs depuis 2016

Membres titulaires

A la rentrée de septembre 2022, le CERHiC compte 20 membres titulaires : 5 Professeurs des universités et 15 Maîtres de conférences dont 2 HDR (dont une en congé). Par domaines : Histoire ancienne (3), histoire médiévale (4 dont 1 en congé), histoire moderne (4), histoire contemporaine (4), musicologie (4).

Début 2016, le CERHiC rassemblait 27 membres titulaires : 7 Professeurs des universités et 20 Maîtres de conférences dont 3 HDR.

5 membres titulaires ont rejoint le CERHiC depuis 2016 :

Isabelle Poutrin (PR histoire moderne, 2017), Jean-Luc Bastien (MCF, histoire ancienne, par mutation croisée avec Philippe Le Doze, 2017) ; Nathalie Barrandon (PR histoire ancienne, 2018), Marc Rigaudière (PR musicologie, 2020), Bertrand Marceau (MCF histoire moderne, 2020) et Axelle Neyrinck (MCF histoire du Moyen Âge, 2021).

Dans le même temps, 13 membres titulaires ont quitté l’unité de recherche :

  • en 2016 :Tanja Itgenshorst-Hiller (PR histoire ancienne, mutée à l’université de Fribourg) ;
  • en 2017 : Patrick Demouy (PR histoire médiévale, départ en retraite), Frédéric de La Granville (MCF en musicologie, départ en retraite), Hendrick Ziegler (PR histoire de l’art, muté à l’université de Marburg), Philippe Le Doze (MCF histoire ancienne, muté à l’université de Rennes 2), Diane Roussel (MCF histoire moderne, mutée à l’Université Gustave , Eiffel) et Yves Verneuil (MCF HDR en histoire contemporaine, promu PR à l’université de Lyon 2) ;
  • en 2018 : Colette Gauthier (MCF civilisation allemande, décédée) et Sylvie Joye (MCF HDR histoire médiévale, promue PR à Nancy) ;
  • en 2019 : Véronique Beaulande-Barraud (MCF HDR histoire médiévale, promue PR à Grenoble) et Laure Gauthier (MCF civilisation allemande, changement de laboratoire) ;
  • en 2020 : Bertrand Porot (PR musicologie, départ en retraite),
  • en 2022 : Philippe Buton (PR histoire contemporaine, départ en retraite).

Les quatre départs en retraite, les trois promotions de MCF HDR à des postes de PR dans d’autres établissements, ainsi que les quatre mutations, auxquels se sont ajoutés un changement d’unité et un décès, n’ont pas été compensés à la hauteur des besoins en recherche et enseignement, malgré les demandes récurrentes de l’unité de recherche lors des campagnes d’emploi successives.

Image : Caillebotte, Racleurs de parquet (1875, Musée d’Orsay).

Les Cahiers du centre d'études et de recherche en histoire culturelle (EA 2616)

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